Projet Collaboratif Online : number 1

Pour inaugurer cette nouvelle série sur les Projets Collaboratifs Online, nous avons le plaisir d'accueillir sur le blog : Laure Faraggi. Auteur du livre à succès : Les Sweet Tables et créatrice du site la Vie Simple et Jolie via lequel vous pouvez recevoir sa Jolie Lettre, une newsletter pas comme les autres qui vous garantie coups de coeurs, bonnes adresses et offres exclusives.

1. Laure, tu es a l'origine de nombreux projets créatifs sur la toile, notamment du concours international de Sweet Tables, le STC, peux tu nous en dire un peu plus sur

comment est née l'idée de ce projet ?

J'ai découvert l'univers des "tables à desserts" dixit les américaines, en 2010 et j'ai adoré. En creusant je me suis rendue compte que le concept était vraiment au point mort en France mais pas que, aussi dans beaucoup de pays européens. Je me suis dit que lancer un concours serait le meilleur moyen de faire bouger les choses et de motiver les mamans à se lancer. C'est pour le concours que le mot "Sweet Table" est né, plus facile à dire et à comprendre dans toutes le langues s'il devenait international.

2. L'engouement étant vite au rendez-vous, tu as du t'entourer d'une équipe opérationnelle pour assurer le succès de cet événement mondial, comment avez-vous choisi vos partenaires ?

J'ai cherché des femmes qui avaient chacune un talent précis pour une tache spécifique nécessaire au bon déroulement du concours et pour qui l'intérêt de collaborer serait gagnant-gagnant. Ainsi segmenté, personne n'empiète sur le domaine de l'autre et je faisais office de régisseur. Le fait qu'elle ne se connaissent pas entre elles est plus facile à gérer car on évite ainsi les risque d'inter-communication et on s'assure de la remontée directe des infos.

3. Quel fut selon toi le plus gros avantage/bénéfice de cette association ?

Réussir à mener à bien et de façon professionnelle un projet d'envergure internationale. On ne peut pas se lancer seule dans une telle tache. Ça demande énormément d'organisation ainsi que de confiance. Si on délègue c'est pour laisser chaque personne faire à sa façon. Le principal étant que la tache soit accomplie.

4. A contrario, quelle fut la plus grosse difficulté que tu as rencontree dans la gestion de ce projet novateur ?

Étant une collaboration bénévole, j'avais beaucoup de culpabilité à donner des directives, j'étais assez mal à l'aise. Pas évident de manager une équipe qui ne dépend pas vraiment de vous mais sur qui tout le bon fonctionnement du concours repose. Je voulais chaque fois m'assurer que cette mission leur faisait plaisir et surtout les informer que j'étais là pour prendre le relais si nécessaire.

5. Quel avenir pour cette collaboration ou pour tes futurs projets collaboratif online ?

J'avoue que j'aime bien travailler seule, je serai certainement une éternelle solitaire. Pas parce-que je n'aime pas le contact bien au contraire mais à cause de cette culpabilité. C'est vrai que j'ai pu avancer dans tous mes projets uniquement grâce à la collaboration, c'est un outil d'une puissance phénoménale et dont il ne faut surtout pas se priver.  Je suis peut-être trop humaine, du coup le plus important pour moi a toujours été de m'assurer que chacune des personnes avec qui j'ai pu collaborer ait su tirer de cette expérience autant de bénéfices que moi.

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